secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a exprimé, hier, à Alger, ses craintes quant “aux mesures d'austérité” que compte prendre le gouvernement, estimant que “la véritable austérité doit être appliquée en mettant fin à la dilapidation des deniers publics”. Lors des travaux des secrétariats des bureaux des wilayas du Sud, Mme Hanoune a précisé avoir appris, jeudi, que le gouvernement “ne compte pas ouvrir de nouveaux postes budgétaires et qu'il sera procédé au remplacement de trois retraités par un seul poste”. “Si cette décision venait à être appliquée, elle constituerait un ajustement structurel très dangereux”, a-t-elle ajouté.
Mme Hanoune a souligné que ce type de décisions “pourrait ébranler la ressource humaine et les institutions de l'État”. Elle a, dans ce contexte, appelé le gouvernement à ne pas reporter la mise en œuvre des programmes du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, notamment ceux concernant les wilayas du Sud, soulignant l'importance d'accorder aux nouvelles circonscriptions administratives “des prérogatives effectives et de leur consacrer des enveloppes financières”.
Par ailleurs, Mme Hanoune a évoqué la situation qui prévaut dans le monde, notamment dans les pays voisins, affirmant que “l'Algérie ne peut garantir sa perennité en tant que nation si l'anarchie règne dans les pays voisins”. “L'État doit adopter une politique intérieure similaire à la politique extérieure qui tienne compte de toutes les données”, a encore considéré la responsable du PT. Mme Hanoune a, par ailleurs, évoqué la nomination de Djamal Kaouane, ancien directeur du quotidien Le Temps d'Algérie, en tant que directeur général de l'Agence nationale d'édition et de publicité (Anep), estimant que “si sa nomination à ce poste a un lien avec l'oligarchie, cela signifierait que la presse privée ne pourra plus conserver son indépendance et sa ligne éditoriale”.
Elle a rappelé que l'objectif de son parti “est d'aller vers la consécration de la démocratie véritable et d'opérer la rupture avec le parti unique”.
Mme Hanoune a souligné que ce type de décisions “pourrait ébranler la ressource humaine et les institutions de l'État”. Elle a, dans ce contexte, appelé le gouvernement à ne pas reporter la mise en œuvre des programmes du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, notamment ceux concernant les wilayas du Sud, soulignant l'importance d'accorder aux nouvelles circonscriptions administratives “des prérogatives effectives et de leur consacrer des enveloppes financières”.
Par ailleurs, Mme Hanoune a évoqué la situation qui prévaut dans le monde, notamment dans les pays voisins, affirmant que “l'Algérie ne peut garantir sa perennité en tant que nation si l'anarchie règne dans les pays voisins”. “L'État doit adopter une politique intérieure similaire à la politique extérieure qui tienne compte de toutes les données”, a encore considéré la responsable du PT. Mme Hanoune a, par ailleurs, évoqué la nomination de Djamal Kaouane, ancien directeur du quotidien Le Temps d'Algérie, en tant que directeur général de l'Agence nationale d'édition et de publicité (Anep), estimant que “si sa nomination à ce poste a un lien avec l'oligarchie, cela signifierait que la presse privée ne pourra plus conserver son indépendance et sa ligne éditoriale”.
Elle a rappelé que l'objectif de son parti “est d'aller vers la consécration de la démocratie véritable et d'opérer la rupture avec le parti unique”.
R. N./APS
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